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Qu'allons-nous chercher ?

Nous parlons de développement durable comme d'un équilibre entre l'homme, ses activités et son environnement. Ce concept est à la mode. Une mode qui remet au goût du jour une façon de percevoir le monde dans un équilibre ancestral. Avant de s'engager dans une urbanisation difficile à maîtriser, l'homme savait s'adapter à la nature et l'utiliser mesurément. Nous nous sommes éloignés de la nature primitive. Les indiens disaient que « le coeur de l'homme éloigné de la nature devient dur ».

Nos modes de vie actuels sont issus d'une évolution qu'il ne faut pas regretter. Il ne s'agit pas de revenir à la vie de nos ancêtres, mais de chercher des compromis plus équilibrés. L'homme du futur n'est-il pas celui qui a la plus grande mémoire ?

Il existe encore aujourd'hui des endroits où l'homme et la nature réussissent à se frayer un chemin commun. Des endroits où l'on peut se recueillir. Nos jardins, nos campagnes, nos montagnes nous ressourcent, nous invitent à recréer du lien aux pierres, aux plantes, à l'eau, au soleil, au vent ; les milieux plus hostiles (hautes altitudes, déserts, zones polaires,...) obligent l'homme à développer ses facultés d'adaptation et à faire preuve de beaucoup d'humilité. Sous nos latitudes, nous rencontrons nous-même des excès de la nature qui nous surprennent et nous désemparent : tremblements de terre, irruptions volcaniques, orages violents, tempêtes, inondations.... La nature n'est pas totalement maîtrisable. Elle doit être comprise et considérée.

Nous souhaitons à travers ce voyage, aller à la rencontre de ceux qui témoignent encore d'une connivence forte avec la nature et qui peuvent nous inspirer pour construire demain.

Quel est l'esprit de notre voyage ?

ETRE ACTIFS. Rencontrer les habitants de ces pays signifie pour nous adopter un comportement actif et non d'être de simples observateurs passifs. Pour cela, nous envisageons :

  • de participer à la vie quotidienne des habitants : tâches domestiques (ex.cuisine), travaux agricoles (ex. récolte, plantation)
  • de nous engager dans des missions pour la Nature et l'Environnement aux côtés des organismes internationaux et des associations locales
  • d'être attentifs aux méthodes d'apprentissage utilisant la nature comme support pédagogique (visite d'écoles), en vue de nos témoignages à notre retour en France.

SE DEPLACER les pieds sur TERRE. Nous favoriserons les transports locaux (marche, véhicules terrestres, voie d'eau ou autostop) plutôt que l'avion. Les trajets font partie intégrante du voyage. Ils ménagent des transitions entre les paysages, les différences culturelles et nous font prendre conscience des distances. Nous voulons appartenir à l'environnement et non passer à côté ou le survoler. ...

COMMUNIQUER, ECHANGER. Nous apprenons l'Esperanto (langue créée par Zamenhof fin du 19è sc) depuis octobre 2002 et jusqu'à notre départ afin de pouvoir communiquer plus facilement, notamment en Asie. Environ 10 millions de personnes parlent l'Esperanto dans le monde. Ce qui est relativement peu par rapport aux autres langues mais beaucoup lorsque l'on sait que l'on peut être accueilli et hébergé gracieusement par un Espérantiste à l'autre bout du monde. La langue est particulièrement reconnue et développée en Chine et au Japon où elle s'avère plus facile à apprendre que l'anglais (Il existe un centre d'hébergement gratuit pour les espérantistes à Tokyo). C'est grâce à l'Esperanto que nous allons pouvoir sillonner le Japon qui était au départ exclu de notre voyage en raison du coût de la vie qui y est très élevé.

Cette langue sera complémentaire de l'anglais et de l'espagnol, incontournables dans d'autres régions du globe. Lorsque nous ne pourrons pas communiquer avec des mots, nous utiliserons le clown (expression d'émotions simples), le dessin, des jeux, des tours de magie.

Avec 8 PRINCIPES pour guide

1. Eviter les circuits touristiques et privilégier les zones rurales
2. S'imprégner du mode de vie local (rituels, divertissements, alimentation,...)
3. Dormir chez l'habitant ou sous une tente.
4. Participer à la vie des habitants en échange du gîte et du couvert
5. Communiquer au-delà des mots (clown, dessin, jeux, tours de magie,...)
6. Apprendre les rudiments de la langue locale : savoir au moins dire « bonjour », « merci », « au revoir ».
7. Accueillir les imprévus, les opportunités et les situations difficiles
8. Donner du temps et prendre le temps.

 
'Demain ne sera pas comme hier, il sera nouveau et il dépendra de nous' Gaston Berger.

Dernière mise à jour : 8/09/03; 13:58:35

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